Le projet Vinithon a pour but de récolter un maximum de bouchons en liège qui seront remis à l’association Agir Cancer Gironde afin de faire fabriquer des panneaux d’isolations phoniques et thermiques, à partir des bouchons recyclés, à un artisan de la région. Les bénéfices des ventes de ces panneaux sont collectés par l’association et versés en totalité à l’Institut Bergonié de Bordeaux, acteur majeur dans la lutte contre le cancer en Gironde.

Au pays du vin, nombre d’entre nous ouvrent de bonnes bouteilles et jettent régulièrement les bouchons de liège à la poubelle. Cette année, je vous demande d’en conserver un maximum et de vous rendre dans un des points de collecte de la région pour participer à ce beau projet et aider à la lutte contre le cancer (la liste des points de collecte est disponible sur la page Facebook du Vinithon).

Cette année, le centre de ramassage sera localisé au Salon de l’Agriculture d’Aquitaine à Bordeaux Lac du 8 au 17 mai 2015. Une occasion de venir en famille pour sensibiliser vos enfants à la cause et leur faire profiter du Parcours de l’Enfant, atelier gratuit qui leur fera découvrir le monde agricole de façon ludique.

Je compte sur vous pour collecter un maximum de bouchons autour de vous et de conserver les autres tout au long de l’année pour pouvoir dépasser les 20 000 euros de bénéfice récoltés en 2014.

Pour suivre l’actualité du Vinithon, rendez-vous sur Facebook et Twitter.

Il n’y a pas de petits gestes pour les bonnes causes.

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Je connaissais déjà quelques unes de leurs recettes même si mon estomac n’est pas encore assez gros pour les avoir toutes testé. C’est donc avec plaisir que j’ai constaté que des mini-burgers nous attendaient pour cette inauguration, ce qui me privait de faire un choix cornélien parmi les saveurs au prétexte que quand même, c’est pas très raisonnable. J’en ai donc goûté un max, dont le Basque (steak de bœuf, brebis, salade, tomates, piquillos, chorizo) et le Normand (poulet, camembert, salade, tomates, poitrine de porc) mais mon préféré du monde entier restera toujours le Savoyard (steak de bœuf, tome de vache, salade, poitrine de porc, confiture d’oignon), en grand amoureuse du bon gros fromage coulant.

La gentillesse des gens de ce lieu fut inégalable et nous avons poussé le vice jusqu’à être servies à table comme une princesse, à papoter entre blogueuses bordelaises (j’ai même aperçu du coin de l’œil la famous Papilles & Pupilles). Je n’avais pas besoin d’être convaincue mais je le fus quand même et je conseille cette adresse les yeux fermés à qui veut déguster un bon burger à Bordeaux (avec un parking pas loin, cerise sur le gâteau). Et pour les très gourmands qui aiment le changement, sachez que chacun leurs tours, des chefs étoilés élaborent des recettes inédites de burgers revisités pour une expérience des plus savoureuse.

 Je vous laisse me dire si je vous ai donné faim. Et vous, fan de burgers ou pas ?

French Burgers, 34 allée de Tourny, 33000 Bordeaux
Burger à partir de 10 euros, menu à partir de 15 euros.

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Le 11 février 2015, la ville de Bordeaux a été élue meilleure destination européenne pour l’année 2015. Une grande nouvelle pour moi qui croit beaucoup au potentiel touristique de ma ville d’adoption, tout en redoutant qu’elle soit prise d’assaut et perde un peu de son charme dans les années à venir.

Alors que je jubilais devant le résultat du classement, ma joie a été ternie par les vilains commentaires de l’article du site en ligne de Sud-Ouest où chacun des commentateurs y allaient de sa critique virulente :

« A part le miroir d’eau, il n’y a rien à Bordeaux », « Une vie culturelle, où ça ? », « A Bordeaux, il n’y a que des souks ! ».

Après un moment de colère, je me suis demandée si ces gens étaient venus il y a longtemps, s’ils avaient vraiment creusé dans l’histoire de la ville ou s’ils s’étaient contentés du bus à touristes et de la rue Sainte-Catherine. J’ai eu envie de rendre hommage à cette ville que j’aime et dont j’admire à chaque fois la beauté architecturale, surtout lorsque je passe en voiture sur les quais une fois la nuit tombée. Il faut savoir qu’Alain Juppé a entamé en 1995 une réhabilitation de la ville, jugée alors comme sale et « craignos », et c’est ainsi que j’ai appris qu’il y a 10 ans, le quartier du Grand Théâtre était plutôt mal famé : c’est à présent l’un des plus jolis de la ville.

J’ai donc eu envie de faire la liste des choses à faire et à voir lorsqu’on se retrouve à Bordeaux, pour contrer la mauvaise foi des détracteurs de la ville.

• Monter sur la tour Pey Berland et admirer la vue
• Prendre un verre en terrasse près de l’Hôtel de Ville lors d’une journée ensoleillée
• Découvrir le Palais Gallien et demander à l’Office du Tourisme de vous en conter l’histoire
• Prendre une photo sur le dos de la Tortue, place de la Victoire
• Visiter une grande maison de vin et participer à une dégustation ou à un cours d’œnologie
• Suivre le parcours historique de la ville et aller jeter un œil à la Grosse Cloche, à la Flèche Saint-Michel et à la Porte de Bourgogne (entre autres).
• Programmer une visite dans un des 11 musées de la ville (et oui, il y a de la culture apparemment)
• Se faire une soirée cinéma à l’Utopia
• S’offrir une journée de détente de luxe au SPA Caudalie
• Aller prendre l’apéritif au Grand Hôtel et déguster un magret de canard dans un des meilleurs restos de la ville (l’embarras du choix à ce niveau-là)
• Louer un vélo et découvrir le nouvel am��nagement des quais
• Enlever ses chaussures et se mouiller les pieds au Miroir d’Eau
• Se planter au milieu des Quinconces et se dire qu’on se troue sur la plus grande place d’Europe
• Déguster un cannelé (ou une chocolatine) (mais surtout pas un pain au chocolat)
• Prendre la voiture (ou le train) et aller faire un tour vers l’océan
• Ou aller manger des macarons et boire du bon vin à Saint-Emilion
• S’allonger dans l’herbe du Jardin Public ou du Jardin Botanique
• Traverser la Garonne en BatCub pour le prix d’un ticket de tram
• Faire du lèche-vitrines cours de l’Intendance (nos Champs-Elysées à nous)
• Attendre que le soleil se couche et admirer la Place de la Bourse
• Profitez de l’Happy Hour dans un des nombreux bars de la ville
• Et j’en oublie très certainement…

Loin de moi l’idée de prouver que Bordeaux soit mieux que Lisbonne (classée 2^nde au classement) car pour moi, toute ville ou presque a son charme, ses qualités et ses défauts. J’espère avoir donné envie aux sceptiques de prendre quelques jours pour découvrir cette ville car je reste persuadée qu’on peut facilement en tomber amoureux.

Et vous, connaissez-vous Bordeaux ? Avez-vous un incontournable à rajouter à ma liste ?

Crédit photo : Sud Ouest et mon compte Instagram

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Le concept de blind-massage s’inspire d’une tradition d’Asie du Sud-Est qui consiste à se faire masser par une personne non-voyante et donc de profiter de leur sens aigu du toucher. Le Spa dans le Noir a poussé l’expérience jusqu’à partager avec ses clients le fait de ne rien voir pendant le soin car la pièce est plongée dans le noir total : un concept inédit en matière de SPA.

Je me suis donc rendue rue Mondenard, à 10 minutes à pieds de la place Gambetta,  non sans curiosité. Dès le pas de porte passé, j’ai été déroutée (positivement) par l’odeur qui régnait dans le lieu. On m’a expliqué qu’il s’agissait d’un système de diffusion d’encens sans fumée, procédé venant d’Arabie Saoudite. Ce parfum envoûtant met de suite dans l’ambiance et après avoir traversé 2 rideaux occultant, me voilà dans une pièce tamisée avec l’habituelle table de massage flanquée de son string jetable, passage obligatoire avant les papouilles.

Le lieu est géré par une mère et sa fille, et c’est Florence, la maman, qui s’occupe de moi. Très souriante, j’ai beaucoup apprécié son humour (« si pendant le soin, quelque chose ne va pas, ne levez pas la main, je ne le verrai pas ») et sa playlist d’ambiance, très rock-folk old school (mon préféré), carrément différent des petits oiseaux et des vagues diffusés habituellement.

Une fois allongée sur la table, je suis plongée dans le noir total. Sur le ventre, je ne vois pas la différence car j’ai l’habitude de fermer les yeux mais une fois sur le dos, j’ouvre grand les mirettes et je me rends compte qu’on ne voit vraiment rien. On est obligés de se laisser aller, de se mettre dans l’ambiance de la détente sans aucune distraction visuelle. Pour les plus pudiques, c’est aussi une façon d’accéder à un soin du corps sans être vu, un gros pied de nez aux complexes ! J’ai donc laissé mon esprit divaguer aux sons de la musique pour apprécier au mieux le soin.

Concernant le soin en lui-même, il alterne la douceur et la fermeté à la perfection. On sent bien que les mains de Florence sont expertes dans le ressenti des tensions et elle insiste sur les parties du corps qui ont besoin d’être dénouées en étant à l’écoute via son sens du toucher. Ma préférence va aux massages des mollets qui m’a vraiment laissé une impression de légèreté au niveau des jambes, et surtout de mes épaules qui étaient bien verrouillées en arrivant. J’ai bénéficié d’un massage « sur-mesure », c’est-à-dire que Florence a adapté le massage en fonction de mes besoins mais le Spa dans le Noir propose une panoplie de massages, dont les plus traditionnels.

Je suis ressortie après une bonne heure à me faire chouchouter, la robe à l’envers (difficile de se rhabiller dans une semi-obscurité) (une façon de ne pas brusquer le retour à la « vraie vie » et à la lumière). J’ai pris plaisir à discuter avec Florence mais aussi avec Déborah du concept mais aussi de leur façon de travailler, de percevoir cette parenthèse qu’elles offrent. On a aussi parlé de pingouins mais c’est une autre histoire.

Le massage sur-mesure est accessible à partir de 77 euros pour 1 heure de soin. Le Spa dans le Noir propose une offre spéciale pour la période de Noël avec 10 euros de réduction sur ce tarif (jusqu’au 31 décembre). Je ne saurai que vous conseiller d’en profiter pour tester et même offrir ce soin sous le sapin, une façon originale et décalée de prendre soin de vous ou de ceux que vous aimez.

En attendant, je remercie le Spa dans le Noir de m’avoir fait découvrir cet endroit un peu caché mais désormais un incontournable dans mes adresses bordelaises.

Le Spa dans le Noir / Bordeaux
48 rue Mondenard, 33000 Bordeaux
Horaires d’ouverture : du mardi au samedi de 10h à 19h
Tel : 05 56 52 24 98

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Pratiquement un an depuis que j’ai grimpé les 258 marches du phare du Cap Ferret – non sans mal – avec ma comparse Faustine. Autant de temps que je dois rédiger ce billet (no comment) pour vous donner envie vous aussi de faire un pied-de-nez aux séances de sport loupées et d’arriver, vous aussi, essoufflées mais heureuse tout en haut de ce magnifique point de vue sur le bassin arcachonnais.

Le timing parfait pour vous annoncer sa réouverture pour la saison estivale de 2014. Petite visite guidée en image de ce lieu emblématique de la côte.

53 mètres qui s’érigent devant vous, ce n’est pas rien !Arrivée tout en haut, soufflez un peu et admirez la magnifique vue qui s’offre à vous.

Et pour mieux imaginer l’utilité du phare dans le milieu maritime, une maquette très graphique (le phare, c’est l’allumette à gauche)

Pour découvrir vous aussi ce phare et la vue qu’il offre, il faudra vous acquitter de 6 euros pour les adultes et 4 euros pour les enfants, en plus de gravir ses 258 marches en priant pour ne croiser personne dans l’étroit escalier.

Vous pouvez également rejoindre la page Facebook du phare pour recevoir touts lest infos dans votre fil d’actualité.

Qui sera assez courageux pour grimper tout là-haut ?

Photos prises avec mon ancien iPhone 4

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Pourquoi ce pont ?

A part être joli dans le décor, le Pont de Pierre avait un but précis lorsqu’il fut construit sous les ordres de Napoléon : rattacher les 2 rives pour facilites les échanges et les déplacements au sein de la ville. Manque de bol, il fut un peu long à construire (tu m’étonnes) et il fallut de nombreuses années pour qu’il soit « praticable ». Au départ, la traversée était payante, aussi bien pour les voitures/camions que pour les piétons, une manière de rentabiliser le coût de construction. Quand on sait que les ouvriers ont fabriqué les petites briques avec le sable récupéré au fond de l’eau, on peut penser à l’arnaque… A moins qu’on parle de la centaine de troncs d’arbres nécessaires pour faire tenir un seul pilier.

Les troncs c’est solide et ça ne pourrit pas dans l’eau du moment qu’il n’y a pas d’air (Jamie Gourmaud sors de ce corps !). Mais avec le temps, les marées, les courants, les camions, le tram qui lui passe dessus, le Pont de Pierre a pris un peu cher et s’affaisse de quelques millimètres chaque année et pas de façon régulière sinon c’est pas drôle. Donc, si vous avez l’oeil vif, vous constaterez qu’il n’est pas droit, et ça le fragilise le pauvre bichon !

Comment faire pour le réparer ?

Compliqué… Il y a déjà quelques « piles » qui ont été renforcées par des grosses barres d’acier qu’on a placé à l’intérieur de chaque pilier, mais l’arrivée du tram a compliqué les choses et il est désormais impossible de faire subir le même traitement au reste du pont sans devoir démonter tous les rails. Un vrai bordel, et si on coupe totalement l’accès au pont, bonjour les bouchons en centre-ville !

En attendant de trouver une solution (c’est prévu pour 2015 apparemment), il y a des gens qui surveillent le pont et s’assurent qu’il va bien. Mesure des vibrations du tram, balade dans les tout petits conduits de chaque arche et placement de pierre autour des piliers pour diminuer les effets de courant et de marée : tout est mis en oeuvre par la ville pour conserver ce chef d’oeuvre d’architecture.

Le pont en chiffres :

– Construction en 1810. Inauguration en 1822.

– 87 mètres de longueur, 19 de large : une belle grosse dame

– 17 arches et 16 piliers composés de 250 troncs de pins des Landes appelés « pieux »

Funny fact :

– Si le nombre d’arches correspond exactement au nombre de lettres qu’il y a dans Napoléon Bonaparte, ce n’est que pure coïncidence.

– Si vous voyez un étudiant bourré se noyer dans la Garonne, ne plongez surtout pas à sa rescousse ! La Garonne est un des pires fleuves en matière de courant et de tourbillon, et vous serez vite noyé à votre tour, même en étant très bon nageur. Jetez-lui plutôt une des bouées accrochées au pont et priez.

– Idem pour les bateaux, il faut être pilote et mettre plein gaz aux abords du pont sous peine de se fracasser contre les piles. Tout ça à cause du phénomène de tourbillon qui se crée aux abords de chaque pilier. C’est beau la nature quand même (et dangereux) !

– Si tu veux visiter le Pont de Pierre et tout connaitre de ses secrets, tu peux contacter la CUB qui organise des visites, ou attendre les Journées du Patrimoine.

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« Ça te dit de passer un week-end sur la côte en mode relaxation, détente et thalasso ? »

Une phrase toute simple qui achève de convaincre ma copine Amandine de poser son samedi matin et de prendre la direction d’Arcachon pour un week-end Thalasso entre copines chez Thalazur Bains d’Arguin.

Après la fameuse grasse mat’ du samedi matin chacune de son côté, on se rejoint pour prendre la route en croisant très fort les doigts pour ne pas être emportée par la houle qui parait-il est déchaînée sur la côté Aquitaine. Météo France prédit l’apocalypse pour la nuit de samedi à dimanche mais on est sûres qu’avec le bruit des remous du jacuzzi, on n’entendra rien.

Arrivées à destination, un accueil très souriant et des explications claires sur le programme des réjouissances, nous découvrons notre chambre d’amoureuses (comme j’étais enregistrée au nom de Mr…) (j’aurais dû m’épiler). Je suis devenue très sensible aux détails des chambres d’hôtel donc je scrute. C’est propre, il y a de la place, assez de papier toilette et la vue sur la piscine est pas mal même avec le mauvais temps. Petit bémol sur la douche et le fameux rideau plastoc que j’exècre.

2 peignoirs moelleux nous attendent sur le lit, comme la promesse de doux moments à savourer. Une paire de chaussons aussi, taille 42 je pense, vu le ridicule de mes mini-pieds une fois glissés à l’intérieur.

16h30, l’heure d’aller patauger dans le parcours marin de 250m². Mes jambes me piquottent et c’est alors que je comprends que c’est de l’eau salée dans la piscine (blonde) et que me raser les gambettes le matin-même n’était pas la meilleure de mes idées (blonde bis). Pas mal de monde barbotte, on fait donc vite le tour et pas de place pour s’affaler sur les transats. Loin de se laisser abattre, nous décidons d’aller vérifier combien de temps de cuisson est nécessaire pour devenir bonnasses du cheveu, de la peau et du booty (comprendre, on s’est calées dans le hammam puis le sauna).

Comme on a décidé que c’était la fête, nous n’avons pas testé le restaurant de l’hôtel et avons délaissé l’option diététique au profil d’un restaurant marocain bien gras – Al Mounia – bravant l’horrible tempête pour une envie de couscous (en vrai, il a plu 3 gouttes). Ensuite, nous n’avons pas demandé notre reste pour laisser Morphée nous accueillir au milieu des oreillers moelleux de la chambre.

Le lendemain, c’est pas la même histoire. Lever 7h45. Un dimanche. Alors même si j’ai pris des pancakes au sirop d’érable pour faire passer la pilule, le réveil fut plutôt cruel. Mais dans nos esprits embrumés, une seule phrase : « on va se faire papouiller ! »

En vrai, on commence par 30mn de renforcement musculaire, avec la douche froide pour rentrer dans le bassin. Autant te dire que je suis bien réveillée cette fois. On est 4 courageuses ridiculeusement coiffées de nos bonnets de bain à faire des mouvements de jambes dans l’eau. Je révise les cours d’aquagym dans ma tête et je comprends pourquoi on dit que l’efficacité est redoutable. A 9h30, on nous libère enfin, direction les soins, les massages, l’orgasme, tout ça !

Nous avons eu droit au combo bain hydromassant et hydrojet auquel je me suis personnellement rajouté un petit modelage aux algues de 15mn, histoire d’être au top. A chaque soin, on vous demande quelle est votre préférence : relaxant, revitalisant, spécial dos, etc… J’ai choisi un mix relaxant pour le bain hydromassant et revitalisant pour l’hydrojet mais Amandine vous dira qu’en choisissant le total combo revitalisant, on chope des cuisses de stars (en gros, ça raffermit la couenne).

Après tout ça, on est épuisées et surtout, on a faim. Il fait beau (mais quelle est cette tempête dont tout le monde parle) et c’est la Chandeleur, alors direction la crêperie !

Pour la digestion et la culpabilité, on retourne au SPA et on enfile nos baskets pour tester la salle de sport (petit bémol, 5 machines c’est un peu juste pour une salle de sport). Après 25 mn de steps difficilement tenues, on décide de se refaire cuire un peu à la vapeur et puis comme c’est dimanche et qu’il faut quand même pas déconner, on part se cacher dans la pièce silencieuse, là où il y a des transats avec des matelas et des plaids bien chauds. Je fais semblant de lire mon bouquin. Amandine, elle, ronfle carrément.

18h00, la bave aux lèvres et complétement décontractée, je propose à ma copine d’amorcer un dur retour à la réalité, à base de rocade et de bouchons. C’est fini le week-end…

Merci à Thalasseo de m’avoir accordé sa confiance pour tester les installations de Thalazur Bains d’Arguins.

Les plus :

– L’eau salée, qui fait vraiment du bien à la peau mine de rien (cicatrisation au max)
– Le sourire du personnel
– Les soins vraiment au top

Les moins :

– Parcours marin un peu « juste » au niveau de la taille et des activités
– Quelques vétustés, des petites rénovations seraient vraiment top
– La salle de sport, si on reste plus de 2 jours

Pour un week-end en thalasso, je vous conseille :

– De vous épiler à l’avance Mesdames, histoire d’éviter tout désagrément et réactions inappropriées
– De prévoir des crèmes doudoux pour après la piscine, surtout si l’eau est salée.
– De glisser dans votre valise, un bonnet de bain et des tongs, pour éviter d’avoir l’air trop ridicule avec ceux fournis pas le SPA (payants)

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Après un bon repas au bord de la plage, il est l’heure d’embarquer moussaillon !

J’ai été ravie de pouvoir redécouvrir le bassin d’Arcachon en tête-à-tête avec moi-même et mon appareil photo, sans être déconcentrée par une discussion entre copines ou les blagues des copains. Parfois être seule à du bon…

J’ai appris beaucoup de choses durant ces 2 heures sur l’océan, et j’ai pu rêvasser en admirant les magnifiques maisons jonchant le littoral et les bateaux de plaisance disséminés ça et là sur l’eau… J’ai ressenti la tranquillité et le bien-être de ces derniers vacanciers venus se repaître  de soleil. Ma seule (petite) déception fut de ne pas débarquer sur la fameuse Île Aux Oiseaux (Pascal Obispo si tu me lis), ayant mal compris la trajectoire empruntée par notre rafiot. Ce n’est que partie remise !

Et le seul élément qui aurait pu me gâcher cette magnifique ballade s’est endormi sur les genoux de son père 5 minutes après le départ.

Pour en savoir plus sur cette jolie traversée, cliquez ici

PS : Ce sont mes premières « vraies » photos sur ce blog. J’en suis fière, soyez indulgents !

PS2 : cet article, c’est aussi ma contribution au concours de LMO sur la thématique du voyage

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C’est grâce à Faust-in que j’ai pu participer à l’inauguration de la nouvelle galerie du centre commercial Rives d’Arcins situé à Bègles (à quelques minutes de Bordeaux). Je connaissais déjà cet endroit mais j’ai été vraiment surprise du nombre et du choix des enseignes. Très facile d’y passer une journée entière à augmenter son découvert, d’autant plus que les nouvelles enseignes du centre se nomment H&M, Mango, Kusmi Tea, Du Bruit dans la Cuisine ou encore Hema !

J’ai également découvert que le centre commercial Rives d’Arcins a été construit en bord de Garonne et que les alentours sont aménagés pour pouvoir faire une pause rafraîchissante loin des néons et du bruit, ce qui est plutôt atypique (foi de professionnelle des galeries commerciales).

Merci à Stéphanie (la CM de Rives d’Arcins) de m’avoir invité à la dernière minute et à ma copinette Faustine que j’ai pu accompagner. J’ai cru reconnaitre certaines blogueuses bordelaises que j’apprécie mais n’étant pas forcément très à l’aise (ni physionomiste), je n’ai pas osé aborder qui que ce soit.

Et vous, adepte des centres commerciaux ?

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