Le luxe en tout simplicité ! C’est ce que j’ai pu tester il y a quelques jours sur la plage Péreire d’Arcachon en me faisant livrer mon pique-nique directement (ou presque) sur ma serviette de plage. La ville d’Arcachon est actuellement une zone-test de ce nouveau service proposé par le livreur de fooding Deliveroo (les petits kangourous en vélo) pour faciliter la vie des vacanciers et leur permettre de profiter de la plage au maximum. Effectivement, le fait de ne pas avoir à aller vers le centre-ville pour chercher notre déjeuner nous a permis d’avoir un super spot sur la plage et de ne plus en bouger (idem pour la place de parking).

Avec mon amie, nous avons jeté notre dévolu sur El Bocadillo qui propose sandwichs, paninis et salades. J’ai fait ma gourmande en prenant un sandwich végétarien et une salade thaï que j’ai fini par partager et mon amie a préféré un repas plus léger avec des wraps. En dessert, un panini au chocolat qui était un peu de trop (mais ça ne m’a pas empêché de dévorer une glace à l’italienne quelques heures plus tard).

Au niveau du choix de restos, 20 des meilleurs restaurants de la ville proposent leurs plats en livraison durant toute la période estivale, et jusqu’au mois septembre. Il y en a un peu pour tous les goûts (burgers, salades, oriental, etc…) mais le grand luxe, c’est la plateau de fruits de mer. Livrable direct à l’entrée des plages, c’est quand même la bonne idée pour épater son futur amour de vacances.

J’ai vraiment aimé le concept et j’espère que cette expérience sera un succès pour être adaptée à d’autres lieux de vacances. Avec l’installation de « spots » de livraison reconnaissables pour épargner les pauvres livreurs qui peinent parfois à nous trouver sur leur vélo par 35°.

Vous avez envie de tester ce service (sur la plage ou chez vous) ? Cliquez ici pour obtenir 5€ de réduction lors de votre inscription !

Merci Deliveroo de m’avoir permis de tester ce service.

The post Deliveroo vous apporte votre repas directement sur la plage appeared first on Little Black Sheep.

L’objectif de Chloé, la créatrice, est de proposer des posters modernes et minimalistes à imprimer chez soi, inspirés de la nature, pour ceux et celles qui aiment les belles choses et le plaisir de pouvoir changer de déco simplement et rapidement, de chez soi. Je ne précise pas que la créatrice est bordelaise et que parler des talents de ma région d’adoption me fait toujours autant plaisir.

J’avais encore une fois envie de partager ce bon plan avec vous en vous offrant 3 affiches à imprimer de votre choix dans la boutique Etsy de LushaPrints.

* CONCOURS *

1/ Indiquez-moi en commentaire votre poster préféré.

2/ Si vous voulez mettre toutes les chances de votre côté, vous pouvez :
– Rejoindre la page Facebook du blog (+1 chance)
– Partager le concours sur les réseaux sociaux (+1 chance) en notant le lien du partage en commentaire (cliquez ici pour savoir comment faire).

Vous avez jusqu’au mardi 19 juillet minuit !

Et les gagnants sont Sarah Ecnarolf, Geslin Anaïs et germaine yvette. Félicitations !

The post Gagnez vos posters LushaPrints ! (Concours) appeared first on Little Black Sheep.

C’est avec plaisir que j’ai déballé ma surprise de son enveloppe et je n’ai justement pas pris le temps de le déguster morceaux par morceaux. Je l’ai dévoré, assise sur mon transat au soleil, un jour où j’avais grand besoin qu’on me fasse sourire.

Sans surprise, ça a bien fonctionné et même si je n’ai pas d’enfants, je me suis retrouvée sur certaines histoires, et j’ai pensé aux copines à travers d’autres. C’est sa maîtrise du second degré, ni trop ni trop peu, qui fait que ça marche, qu’on se reconnait dans la dépensière invétérée, ou dans la mauvaise foi face à son mec, et aussi dans le mensonge par omission face aux enfants (je n’en ai pas mais j’ai la chance d’avoir un filleul qui m’apprend parfois la patience).

Mais je pense que mes histoires préférées restent celles où la jolie franco-italienne nous livre sa délicatesse et sa sensibilité. Je sais que ce n’est pas forcément sa tasse de thé mais c’est en ça que ces textes me touchent : de savoir que derrière l’humour et la dérision, il y a aussi un peu de mélancolie et une douceur qui lui permet d’aborder des sujets un peu plus graves, tout en leur donnant une lumière particulière.

 Et si vous aussi, vous voulez apprendre 2 ou 3 répliques tout en humour à rétorquer au relou du coin, ou connaître de quel type de belle-maman vous avez hérité, je vous propose de gagner un exemplaire du livre de Serena sur le blog.

* CONCOURS *

1/ Racontez-moi en commentaire une anecdote rigolote sur une situation familiale, amoureux ou amicale.

2/ Si vous voulez mettre toutes les chances de votre côté, vous pouvez :
– Rejoindre la page Facebook du blog (+1 chance)
– Partager le concours sur les réseaux sociaux (+1 chance) en notant le lien du partage en commentaire (cliquez ici pour savoir comment faire).

Vous avez jusqu’au mercredi 13 juillet minuit !

Et la gagnante est Lilyla. Félicitations !

Bonne chance !

The post WonderMum 3 : changement de cape appeared first on Little Black Sheep.

Des mois que je reluquais ce superbe appareil photo complètement génial mais qui vaut son pesant de cacahuète. Je tourne et retourne sur les boutiques en ligne, je guette les promotions, etc… Et un jour, je prends ma décision, ça suffit, il me le faut. Mon sens du consommateur responsable me crie d’acheter sur un eshop français si possible. Je fais mon choix pour une commande sur le site de la Fnac, grande enseigne française renommée. En plus, il y a une promo avec l’adhésion à la carte Fnac qui met l’appareil en même prix que sur Amazon (oui parce sinon c’est plus cher) et on peut payer en 3 fois sans frais. Go !

Je pense que ce jour-là, j’aurais mieux fait de me casser une jambe, de griller ma box Internet ou de planter mon ordi. Depuis ce jour maudit où j’ai cliqué sur  « acheter », la Fnac a fait de ma vie un enfer. Un enfer de mensonges, d’appels inutiles au SAV et de recommandés. La belle arnaque !

1^ère erreur de la FNAC :

Le site me renvoie vers une page 404 lorsque je veux acheter le paiement en plusieurs fois. J’essaye pendant 2 jours mais le temps presse car je pars en vacances une semaine plus tard (ce détail a son importance). Je téléphone donc au Service Client Fnac pour passer ma commande et le conseiller a bien du mal à comprendre et à me faire la même offre qu’en ligne (à savoir la carte Fnac, le crédit et l’offre de réduction). Détectant déjà un potentiel problème, je répète TROIS FOIS que je souhaite le modèle gris… Et je choisis la livraison en magasin (à 25mn de chez moi) car à la Fnac, on facture 15 euros la livraison en Colissimo, même quand on lâche 700 euros.

Je vous le donne en mille. Quand je vais chercher mon colis à la Fnac de Bordeaux Centre, c’est le modèle noir qui est dans la boite. Boite que je déballe chez moi, sinon ce n’est pas drôle. Appel au SAV qui me demande de retourner l’appareil par voie postale ou en magasin, et d’attendre qu’ils le réceptionnent pour me renvoyer le bon modèle.

Je pars en vacances dans 10 jours, donc impossible de récupérer l’appareil dans le bon modèle avant mon départ (et adieu les jolies photos). Je capitule et garde le modèle noir – qui est joli et qui donne l’impression d’avoir un appareil vintage entre les mains – mais je me sens un peu arnaquée sur le process.

Qui me dit qu’il ne s’agit pas d’une vente forcée parce que l’enseigne veut refourguer les modèles en noir ? Personne.

2^ème erreur de la FNAC :

Je pars en vacances dans une région où il fait encore super beau en Octobre : les Antilles ! Autant vous dire qu’à la vue des étendues d’eau salées magnifiques, je me régale d’avance de prendre des clichés. J’ai à peine déballé mon XT-10, juste le temps de l’allumer pour voir s’il fonctionne et de recharger la batterie. Une semaine après mon arrivée, je dégaine. Au bout de quelques clichés, je note une petite tache noire dans le viseur mais mon ancien Reflex a parfois le même défaut sans que ça ne transparaisse sur les photos. Je me détends et profite du paysage. Paysage que j’affiche en grand sur mon ordinateur le soir venu. Et là, le drame : il y a une tâche sur toutes mes photos ! Le point noir n’est donc pas un défaut du viseur mais une belle tâche sur la lentille (j’ai essayé de nettoyer l’objectif, mais rien à faire, c’est bien la lentille et je suis impuissante).

Dès le lendemain, je dégaine le téléphone et le supplément tarifaire des DOM-TOM vers la France pour appeler le SAV de la Fnac. « Pa Ni Pwoblem, je vous fais un bon de retour. » « Oui mais je rentre de vacances dans 2 semaines, je ne peux pas vous renvoyer l’appareil dans sa boite d’origine maintenant. Est-ce que le bon retour sera encore valable ? Est-ce que mon appareil sera échangé ? » « Oui oui c’est OK pour nous ».

Ouf, je continue à faire quelques clichés malgré tout, que je retoucherai en revenant à la maison.

3^ème erreur de la FNAC :

De retour à la maison, je prépare le retour de l’appareil photo incluant les papiers spéciaux, l’emballage bien protégé, etc… Arrivée à la Poste, je demande à la personne au guichet de confirmer que le bon de retour est bien OK. « Ha non, il n’est plus valable. Heureusement que vous me l’avez demandé car le colis aurait pu être perdu. » Vous pouvez coller à la suite de cette phrase les émoticônes peur bleue, colère tout rouge, pleure toutes les larmes de son corps, se roule par terre et va étriper la Fnac avec une hache.

Je rappelle le SAV de la Fnac qui m’agace prodigieusement car il me demande pour la énième fois le n° de référence de l’appareil et je dois déballer l’entièreté du colis savamment préparé. Et là, le coup de massue : mon appareil ne sera pas échangé, mais partira en réparation car le délai d’échange est dépassé. Je perds mon sang-froid et m’énerve une bonne fois pour toutes en criant à l’arnaque. De quel droit un appareil photo acheté NEUF, livré dans le mauvais modèle et en mauvais état ne doit pas être échangé par le magasin !!!???

Je demande à ce qu’on me passe un responsable. J’ai donc droit à une charmante jeune femme à qui je narre les exploits de son entreprise et qui semble prendre les choses en mains. L’appareil doit tout de même partir en réparation (WTF !!!) mais elle me promet que ce sera pris en charge par la garantie. Elle m’annonce tout de même 4 à 8 semaines de délai car il sera renvoyé au constructeur. Je vois rouge mais je garde mon calme en me disant que c’est soit ça, soit un appareil photo inutilisable.

Elle me propose également de négocier un avoir entre 20 et 40 € (LOL) crédités sur mon compte Fnac. Autant vous dire que j’attends toujours d’en voir la couleur.

Ou comment faire avaler des couleuvres au client pour qu’il lâche l’affaire.

4^ème erreur de la FNAC :

5 semaines après le renvoi de mon appareil, je reçois un devis de la Fnac d’un montant de 149€ concernant la réparation, ou devrais-je dire le nettoyage de la lentille de mon XT-10. Nettoyage non pris en charge par la garantie d’un an qui est encore en cours (forcément).

Je décide que c’est le coup de grâce. J’essaye de les contacter – en vain – sur les réseaux sociaux puisque par téléphone, on se fout clairement de moi. On ne m’a JAMAIS répondu une seule fois, ni sur Twitter, ni sur Facebook, l’enseigne préférant sûrement n’avoir aucune preuve écrite de leur belle arnaque.

Je mets donc le dossier entre les mains de mon assurance juridique qui leur enverra plusieurs recommandés dont la réponse sera, en résumé, « on s’en carre, c’est à vous de payer ». A force d’attente, la Fnac me renvoie l’appareil photo en l’état. J’enquête de mon côté pour pouvoir réparer mon XT-10 à moindre coût. Le CM de chez Fuji ne peut rien faire car ça ferait sauter la garantie Fnac (méga LOL) (la garantie… quelle garantie ?) mais me conseille d’aller faire un devis dans un magasin photo. Bingo ! Je m’en sors pour la modique somme de 49€ et mon appareil est désormais presque comme neuf, 5 mois après la date d’achat et une cinquantaine de clichés avec une tâche.

Conclusion de l’arnaque Fnac :

A trop vouloir bien faire, on se fait entuber. Suite à cette rocambolesque histoire, j’ai décidé qu’à partir d’un certain prix, mes achats se feront au plus pratique et au moins cher. Amazon est certes le diable (financement de Monsanto et concurrence aux petits commerces) mais l’enseigne aurait repris mon XT-10 sans sourciller et me l’aurait remboursé intégralement (déjà vécu sur d’autres achats).

A vouloir tester la qualité française, je me suis heurté au mépris, au je-m’en-foutisme et au mensonge d’un SAV loin d’être à la hauteur et qui cherche seulement à enterrer les réclamations de sa clientèle pour que son nom continue à briller.

Le dossier est toujours ouvert car je compte bien demander le remboursement des 49€ ainsi qu’une extension de garantie, et pourquoi pas un dédommagement pour tout ce temps gâché dans une procédure largement évitable. Mais non, la Fnac préféré refourguer ses invendus et autres matériels abîmés en toute impunité.

NB : l’autre truc marrant, c’est que je n’ai jamais reçu la carte Fnac, que je souhaitais résilier avant qu’elle devienne payante. Sans numéro, point de résiliation et j’ai dû faire opposition partout pour être sûre de n’être prélevée nulle part de la cotisation. Et encore une fois, le SAV de la Fnac n’a jamais su me répondre.

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Il est arrivé par inadvertance, il y a quelques jours, un peu avant de se dévoiler à la face du monde et quand j’ai déchiré le carton et que je l’ai vu, j’ai eu des larmes qui me sont montées aux yeux. Tu comprendras quand tu seras plus grande : le nouveau bébé de mon amie Virginie Grimaldi qui a reconduit l’exercice difficile de l’écriture, et pas qu’un peu vu l’épaisseur du bouquin. Je me suis empressé d’ouvrir la première page car je savais que j’y trouverais un petit mot, ses petits mots à elle, qui me disent « tiens, je te le confie, prends-en bien soin ». J’ai euphoriquement tapé les miens sur mon téléphone en lui racontant ma belle surprise du matin et le premier pincement au cœur avant même d’avoir commencé l’histoire.

Et c’est une belle histoire qu’elle nous offre là ma Ginie. Une histoire simple, peuplée de gens qu’on a déjà croisé dans notre vie (ou dans une maison de repos), un roman cadencé par tous les caractères que peuvent prendre l’âme humaine, un récit sans prétention, tout en simplicité et en sourire (saupoudré de quelques larmes), qui empêche à chaque fois de refermer le livre parce que « c’est l’heure de dormir ». 2 petits jours. C’est le temps qu’il m’a fallu pour dévorer les 510 pages et découvrir l’histoire de Julia, Greg, Marine, Léon, Lucienne et les autres. 2 jours pour admirer le talent grandissant de ma copine en me surprenant à penser « mais comment a-t-elle eu cette idée ? » et autres « Elle écrit vachement bien !!! Pincez-moi je rêve, je connais une ROMANCIERE !!! ». J’ai admiré l’évolution de sa plume qui a pris la légèreté de l’écrivain qui se fustige de moins en moins du syndrome de l’imposteur, j’ai admiré la profondeur qu’elle applique aux personnages sortis de son imagination et j’ai jalousé la talent de celle qui jongle avec l’intrigue des mots comme si c’était des bulles de savon.

A travers les personnages qui se découvrent au fil de l’intrigue, c’est moi qui ait redécouvert les traits de caractère de ma paupiette, son positivisme, sa rage, son franc-parler, sa philosophie, ses peurs, ses travers, ses qualités et son cœur sur la main. Un peu comme des messages codés qu’elle ose parfois livrer de vive voix mais pas souvent. Alors j’ai pris plaisir à les décrypter pour m’accrocher à cette sensibilité qu’on lui connait moins mais qui est pourtant là. Ce roman fait partie des « feel-good », de ceux qu’on ouvre quand on a envie d’une session chamallow bien calée dans son fauteuil, un peu à l’abri des misères de la vie. Il fait aussi réfléchir sur notre façon de voir la vie et de faire nos propres choix, et surtout ceux qui nous rendent heureux finalement.

J’ai souvent lu entre les lignes pendant mon ascension à travers ses mots et je profite de l’opportunité qui m’est donnée pour dire à l’auteur que son coup est réussi et que je suis sûre que ce nouvel opus lui amènera les millions et les chippendales. J’en profite aussi pour dire à mon amie combien je suis fière de ce qu’elle a été capable d’entreprendre malgré toutes les failles qu’elle a dû combler. N’arrête jamais d’écrire, tu le fais trop bien.

Virginie, je t’ai vu entamer un joli parcours ces dernières années et affronter des dragons à faire pâlir le plus preux des chevaliers. Je t’ai vu changer, te remettre en question, bosser comme une furie, douter de tout mais y aller quand même, affronter ton passé, ton présent et ton futur. J’ai vu la bienveillance tomber sur toi comme des paillettes multicolores parce que tu as compris que c’était le bon chemin. Tu as grandis et tu as compris. Tu as trouvé ta voie et elle te tend les bras.

Et si vous voulez du croustillant, j’annonce qu’il y a les mots « bite » et « clitoris » disséminés dans le bouquin.
Foncez !

Tu comprendras quand tu seras grande de Virginie Grimaldi, disponible sur Amazon, 19,90 euros

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Au fil des années, et un peu grâce au blogging, mon rapport à la photographie a beaucoup évolué et s’est affiné. L’image a pris une importance très large – parfois trop large – dans ma vie. Mon œil s’est affiné, mes compétences aussi même si je me sens souvent bloquée sur l’aspect technique et que je rêve d’un atelier sur-mesure pour m’apprendre à me servir des diverses options de mon matos photo et connaitre les secrets des logiciels de retouche. C’est même souvent ce qui me bloque pour écrire des articles, la qualité des images ayant désormais la part belle chez les blogueurs. J’ai même récupéré l’appareil de mon père, qui est donc ultra vintage, car j’adore la qualité des photos de mes albums d’enfance. Le côté argentique me fascine.

J’admire le travail des « vrais » photographes, surtout ceux qui voyagent et qui arrivent à retranscrire les émotions et les paysages magnifiques qu’ils ont sous les yeux. Je me sens chanceuse d’avoir pu bosser sur mes compétences et réussir à capturer l’essence d’un voyage : quand je parcoure mes albums de l’Australie d’il y a 6 ans, je vous assure que c’était pas gagné d’avance. Instagram m’a notamment permis de travailler sur ce qui fait la bonne composition d’une photo. J’ai même suivi le challenge Cachemire et Soie pour en apprendre un peu plus sur les photos prises avec un smartphone. Car oui, aujourd’hui, le bon photographe veut du matériel de qualité qui se glisse dans un sac à dos et ne pèse pas un âne mort. C’est d’ailleurs pour ça que j’ai choisi de changer il y a peu d’appareil photo car mon reflex restait trop souvent à la maison, faute de courage pour caser l’énorme machine dans mon sac (et de le porter à l’épaule).

Si je vous parle aujourd’hui de photo, c’est pour vous présenter la marque sur laquelle j’ai jeté mon dévolu et qui vient de sortir un nouveau modèle très pro et très pratique : le X-Pro 2 de chez Fujifilm. Pour se rendre compte du potentiel de la bête, le photographe Eric Bouvet a participé à une opération dénommée « Regard Doubles » en Laponie et en a rapporté des clichés assez magiques. Cette aventure défend une cause qui me tient à cœur – la protection de l’environnement – et part à la rencontre d’une tribu indigène, les « Saamis », qui sont directement menacés par le réchauffement climatiques. Si vous voulez plus d’infos sur le sujet, je vous conseille de vous rendre sur le site Fujifilm Expérience. Et si l’utilisation du X-Pro 2 vous intéresse, la vidéo ci-dessous est plutôt très explicite par rapport l’expérience d’Eric Bouvet.

J’aime aussi son retour sur le fait qu’un appareil plus discret permet de créer un lien avec les autochtones, autant pour les clichés que pour pouvoir caler l’appareil sous son bras en 2 secondes et initier une conversation.

Rien ne vaut le cliché « par hasard » quand on traîne ses guêtres autour du globe.

Pour l’occasion de la sortie de ce nouvel appareil, l’équipe de Fujifilm m’a posé quelques questions pour mieux cerner mon rapport à la photographie.

– Coucou Fanny ! Alors raconte-nous un peu ton blog, il raconte quoi ?
Il raconte plein de choses : mes découvertes, mes dernières sorties, mes voyages et un peu de ma vie sur des textes plus personnels. Dernièrement, j’écris plutôt des articles sur la ville où je vis – Bordeaux – qui bouge beaucoup en termes d’activité, restos, balades, etc…
Comme je le décris, c’est un melting-pot de tous les sujets sur lesquels j’ai envie d’écrire. Dans le monde du web, ça s’appelle « lifestyle » mais j’aime de moins en moins ce terme.

– Mais du coup c’est quoi ton rapport à la photo, tu en fais depuis longtemps ?
Ça fait quelques années que je m’intéresse à la photo. Après mon année en Australie, j’ai voulu creuser le sujet pour pouvoir ramener de jolies photos de voyage (mes photos de l’époque sont assez calamiteuses). Ça fait donc à peu près 6 ans que j’ai commencé à acheter des appareils photos plus qualitatifs (un Bridge et ensuite un Reflex), à demander des conseils pour les prises de vue et à mettre les mains dans les logiciels de retouches.
Je veux aussi pouvoir immortaliser des moments avec mes proches mais j’ai un peu plus de mal à maîtriser le côté technique (pour les portraits notamment). C’est ce qui me fait le plus défaut car je manque de patience pour assimiler toutes les possibilités de mon appareil.

– Tu peux nous en dire plus sur ton appareil ? Tu utilises quoi exactement, et comment tu en es arrivée à choisir ce modèle ?
J’ai récemment acheté le modèle XT-10 de chez Fujifilm pour la simple et bonne raison que je trouve mon Reflex trop lourd et qu’il reste souvent à la maison. J’ai donc fait des recherches pour trouver un appareil qualitatif qui soit moins encombrant et qui se glisse dans mon sac. J’avais repéré ce modèle chez une blogueuse dont j’aime les clichés (Juliette de Je ne sais pas choisir) et j’ai demandé conseil à 2 potes photographes dont un qui utilise régulièrement ce modèle et me l’a vivement conseillé.
Je ne le regrette pas, il est léger, il fait des photos de super qualité même en mode automatique et en plus, il a un look un peu vintage qui me plait beaucoup.
J’apprends encore à découvrir tout son potentiel car le fonctionnement est un peu différent de mon ancien Reflex mais je l’adore.
Ha oui, et on peut transférer les photos qu’on vient de faire directement sur son téléphone et ça, c’est génial pour la fan d’Instagram que je suis.

– Fujifilm est en train de lancer le X-PRO 2, est-ce que depuis que tu es chez Fujifilm, tu t’intéresses un peu plus à la technique ? Est-ce qu’un modèle un peu plus pro t’intéresserait ?
Oui, je me suis toujours intéressée à la partie plus technique depuis que je me suis mise à la photo car c’est justement ce qui fait la différence entre un cliché lambda et une belle photo (selon moi). Je suis fan des modèles pro même si pour l’instant, je ne maîtrise pas assez pour avoir besoin d’un matos de professionnel mais à l’avenir, pourquoi pas. Si on reste dans du matériel léger et pratique, je suis totalement pour car la photographe en devenir que je suis se laisse décourager quand l’appareil est trop encombrant (je fais surtout des photos à l’extérieur et en voyage, plus c’est léger, plus c’est pratique).
J’y pense également pour le blog, car nous sommes dans une ère où les visuels que l’on propose sont aussi importants que le contenu.

– C’est quoi ton prochain voyage ? Tu nous ramèneras de belles photos ?
La boucle sera bouclée puisque je retourne en Australie en mai. J’y vais surtout pour rejoindre des amis mais je pense que j’aurais l’occasion d’immortaliser quelques paysages de dingue. Comptez sur moi pour vous faire baver de jalousie.

Et vous, quel est votre rapport à la photographie ? Plutôt smartphone, compact ou reflex ?

Les photos de cet article ont été prises avec mon appareil Fujifilm XT-10.
Merci à Fujifilm pour leur confiance.

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Il y a un peu plus d’un an, le petit frère d’une de mes meilleures amies se lançait dans la grande aventure de entrepreneuriat. Il a choisi de mettre en avant la gastronomie du pays natal de ses parents en reprenant un espace implanté dans le mythique marché des Capucins de Bordeaux. C’est à partir de cette belle opportunité qu’est né l’enseigne JFG du Portugal, mon QG quand je viens me réapprovisionner en légumes de saison et autres gourmandises de qualité.

Fabrice a toujours le sourire et le verbe accueillant et ce nouveau rôle lui va comme un gant. A son comptoir, vous pouvez venir choisir des spécialités portugaises à picorer, comme les  bolinhos de bacalhau, les tremoços (mes préférés) ou les charcuteries typiques mais aussi des spécialités sucrées pour le dessert (Pão de Ló, Doce sortido, etc…). Si vous avez l’ambition de réaliser une recette made in Portugal, n’hésitez pas à aller y trouver vos ingrédients phares pour un prix très raisonnable et une belle qualité préférée. Et si vous préférez la version tout prête, chaque fin de semaine, des plats cuisinés sont en vente (brandade, salade de morue, bacalhau abras, etc…).

Mais ce que je préfère le plus en me rendant sur l’étal de JFG Produits du Portugal, c’est l’ambiance. Celle propre au marché des Capucins, ce côté bruyant qui grouille d’activité et de discussion, ce sentiment d’être constamment entre copains à partager une discussion animée en profitant de la bonne chère et le dépaysement de découvrir de nouvelles saveurs. C’est attablée devant un assortiment de charcuteries et de fromages, à me régaler de tartines savamment composées et d’un peu de vinho verde que je savoure le mieux ces rendez-vous du dimanche midi, ce brunch un peu décalé où on rigole toujours très bien.

Bref, si vous aimez les ambiances bon enfants et que vous voulez apprendre quelques mots de portugais sur fond de produits locaux, rendez-vous chez Fabrice Galvao et ses Produits du Portugal.

JFG Produits du Portugal
Place des Capucins, 33800 Bordeaux
Du mardi au dimanche (tous les matins jusque 13h environ)
Page Facebook

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On le sait tous, les commerces de proximité souffrent de l’apparition des grandes chaînes industrielles et des centres commerciaux où l’on peut tout trouver au même endroit, sans parler des sites de shopping en ligne qui permettent de commander en restant chez soi. Je suis une mauvaise élève mais depuis un moment, je me surprends à aimer flâner et découvrir les boutiques insolites de Bordeaux et leurs produits locaux, une nouvelle habitude qui est en corrélation avec ma volonté de faire attention à ce que j’achète (qualité, provenance, etc…). Mon principal frein est d’habiter en périphérie urbaine, dans une zone qui ne regroupe que des habitations et quelques entreprises, ce qui n’est pas forcément motivant quand vient l’heure de prendre ma voiture jusqu’en centre-ville, me garer et aller arpenter les rues de ma jolie ville de Bordeaux.

Le mois dernier, j’ai été invitée par le pôle innovation du groupe La Poste pour découvrir une nouvelle application qui permet de mettre en relation les consommateurs avec leurs commerçants de proximité, tout en gardant le côté « pratique » du numérique. Le principe Ask&Shop est de pouvoir « souffler un souhait » concernant un besoin d’achat, puis de l’envoyer aux commerçants inscrits au programme en choisissant la zone de recherche. Ce nouveau service permet aux addicts de l’achat en ligne ou via smartphone de trouver leur bonheur en faisant marcher le commerce de proximité, et permet aux enseignes de séduire un nouveau type de clientèle.

Le service est pour l’instant en zone de test uniquement sur la ville de Bordeaux (youpi) et je vous propose de pouvoir le tester en mettant en jeu 2 bons d’achats de 50 euros à valoir chez le commerçant de votre choix (liste des commerçants participants ci-dessous).

Pour participer à ce concours :

• Téléchargez l’application sur votre smartphone en cliquant ici (disponible également sur iTunes et sur Google Play via ordinateur) et créez votre profil.
• Mettre un commentaire ci-dessous pour me dire quel serait votre « souhait shopping » idéal en m’indiquant votre pseudo Ask&Shop et valider ainsi votre participation.
• Une chance supplémentaire si vous rejoignez la page Facebook du blog (indiquez votre pseudo en commentaire).

Le concours est ouvert jusqu’au 7 février 2016, minuit.

Le bon d’achat sera utilisable chez les enseignes mentionnées ci-dessous jusqu’au 1er mars 2016 prolongation jusqu’au 15 mars 2016 :

LILY BLAKE,  68 rue Notre-Dame, 33000 Bordeaux
SIROP D’ERABLE SKATESHOP, 57 cours d’Alsace et Lorraine 33000 Bordeaux
LES PIPELETTES, 316 cours de la Libération 33400 Talence
LE PSYCHE D’HOLLY, 14 rue Saint-James 33000 Bordeaux
PARFUMS FABIANI, 48 cours Saint-Louis 33300 Bordeaux
GIFT, 22 avenue de la Libération Charles de Gaulle 33110 Le Bouscat
BORDELAISE DE LUNETTERIE, 111 rue du Grand Maurian 33000 Bordeaux
HERBEO, 31 rue des Ayres 33000 Bordeaux
DO YOU SPEAK Français, 93 rue Notre-Dame 33300 Bordeaux
CAMILLE ET LUCIE, 73 rue des Ayres, 33000 Bordeaux

Bonne chance à tous.

Et vous, vous êtes plutôt centre commercial, shopping en ligne ou commerces de proximité ?

Les gagnantes du concours sont Barbara Vie d’Une Curieuse et Faustin’. Félicitations !

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J’ai toujours tendance à sourire en toute circonstance, même pendant les coups durs, même quand la personne en face m’agace ou me fait peur. C’est mon arme de défense massive, ma manière de dérider les gens, un prémisse de mon rire gras et communicatif de marin, mon atout pour obtenir ce que je demande.

Il a pourtant été compliqué à entretenir ce joli sourire. Un pouce qui sert de doudou jusque tard dans ma vie de jeune fille, des appareils dentaires (ou autrement nommé engins de torture) tous plus horribles et inconfortables les uns que les autres, une chute spectaculaire et une rencontre avec un trottoir, des quenottes qui souffrent à la moindre carence en vitamines, des dents de sagesse pas si sages et des gencives récalcitrantes.

Je ne compte pas le nombre d’heures passées chez le dentiste à essayer d’éviter le pire, en vain ou presque. Si j’ai d’ailleurs un seul conseil à donner en matière de dentition, ce serait celui-ci : plusieurs avis valent mieux qu’un pour fuir les mauvais dentistes à toutes jambes (et à choisir, on se le fait recommander par un personne qui a galéré et qui a un résultat à la hauteur du prix que ça coûte).

Et donc après des heures sur le fauteuil qui s’incline, la bouche grande ouvert et la douce musique de la roulette, une dent de devant brisé en morceaux, une autre qui décide de vivre sa vie en toute décontraction de l’esthétisme, j’ai repris le chemin de l’orthodontie à 30 ans pendant 2 années (de calvaire et de ruine) et un résultat quasiment à la hauteur de mes espérances.

Après tous ces sacrifices, je ne saurai vous recommander de prendre bien soin de vos dents, surtout si la génétique familiale s’en même, car il vaut mieux prévenir que guérir et garder un joli sourire en toute circonstance.

Et vous, quelle importance donnez-vous au sourire ? Avez-vous connu les galères de l’appareil dentaire ?

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Quand j’ai reçu le mail où Tarek Moutawakkil, le gérant de l’Escape Hunt de Bordeaux, me proposait de venir tester ce nouveau concept d’escape game installé à Bordeaux, j’ai fait la moue. Je ne suis pas une très grande fan des jeux d’énigme ayant de profondes difficultés en termes de logique. Je suis du genre à me perdre facilement, à ne pas savoir gérer l’espace/temps et j’ai toujours eu du mal avec les équations à résoudre (coucou mes profs de maths). J’associais donc ce genre de jeu en espace réel à une mise à l’épreuve grandeur nature de mon incapacité à déchiffrer des codes ou à trouver l’aiguille dans la botte de foin.

Et puis, plusieurs articles sur Internet ainsi que des retours de personnes ayant testé les live escape games (notamment une, réticente au départ, épatée à la fin du jeu), ont attisé ma curiosité au point que j’ai fini par répondre oui à Tarek. J’ai donc constitué mon équipe d’enquêteurs pour aller résoudre l’énigme niveau intermédiaire de l’Escape Hunt.

Sans vous révéler le contenu exact de mon expérience – sinon plus aucun intérêt, ni effet de surprise -, l’expérience a été plus que convaincante et mes 4 compères et moi-même sommes ressortis enchantés de la salle de jeu. Ravis aussi d’avoir résolu l’énigme finale 3 minutes avant la fin du chrono. 

Le concept « Escape Hunt »

L’Escape Hunt est situé au 5 rue Pierre Loti �� Bordeaux, proche de la gare Saint-Jean, dans un ancien hangar, réaménagé en salon cosy à l’anglaise grâce aux petites annonces du Bon Coin et à l’imagination des 2 gérants qui ont repensé totalement le lieu (et qui se sont mis au bricolage et au papier peint). Une belle réussite car l’ambiance Sherlock Homes tamisée nous met tout de suite dans le bain. En dehors de salon d’accueil, le lieu comprend également 7 salles de jeu, le tout sur 500m2.

3 sortes d’énigmes sont proposées aux joueurs :

• Le Mystère de Saint-Emilion / pour les débutants
• Meurtre au Port de la Lune / pour les joueurs confirmés
• Jack L’Eventreur / pour les pros des enquêtes

Ces énigmes sont susceptibles de changer régulièrement, pour apporter de la nouveauté et donner envie aux anciens joueurs de revenir (la fidélisation des clients, c’est important).

Le concept en lui-même vient d’Asie mais les différents lieux qui l’exploitent sont libre d’y apporter leur propre définition en ajoutant/modifiant des éléments du jeu.

Le but général reste le même : arriver à sortir de la pièce en résolvant l’énigme et avant que le chronomètre n’affiche zéro. Pas de panique pour les claustrophobes, une sortie de secours est prévue et un téléphone permet une aide extérieure pour ne pas rester bloqués à une étape du jeu (et de se décourager).

Mon ressenti sur l’escape game

Je suis arrivée avec l’appréhension de ne pas être assez logique pour arriver à résoudre l’énigme, je suis ressortie du jeu en n’ayant qu’une envie : recommencer.

Premièrement, le jeu se fait en équipe (5 personnes c’est le nombre parfait selon moi) : chaque personne ayant ses points forts, les personnalités se complètent assez facilement pour avancer dans le jeu.  Deuxièmement, l’équipe de l’Escape Hunt est toujours présente pour vous aider à avancer si un point vous pose problème pendant trop longtemps.

Le fait d’être dans un jeu « grandeur réelle » motive d’autant plus qu’on peut fouiller les lieux, déplacer les objets, et c’est vraiment ce côté du jeu qui m’a plu, l’intéraction avec l’environnement (en passant, bravo pour les idées et la déco). Avec le grand sourire aux lèvres quand tu trouves LA solution à une énigme et que tu l’exposes à tes partenaires de jeu.

Mais notre satisfaction première est d’avoir résolu l’énigme de difficulté intermédiaire – Meurtre au Port de la Lune – pour notre première tentative de live escape game.

Je conseille donc vraiment de tester ce concept, avec vos amis, parents, enfants (à partir de 10 ans), parfait pendant un jour de pluie ou pour une soirée qui change de l’ordinaire. (À éviter en couple uniquement, pour ne pas vous arracher les yeux.)

Il n’y a pour le moment pas d’espace de restauration mais l’équipe de l’Escape Hunt planche dessus pour permettre aux équipes de débriefer tranquillement de leurs expériences en continuant la soirée sur place.

Et vous, est-ce que ça vous tente de tester un escape game ?

Escape Hunt
5 rue Pierre Loti à Bordeaux
A partir de 21 euros / personne
(prix dégressif en fonction du nombre de joueurs)
Site Internet
Page Facebook

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