Les Paresseuses nous mettent un coup de pied aux fesses

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J’adore la collection de guides Les Paresseuses. J’en ai déjà plusieurs dans ma bibliothèque : la déco pour les Paresseuses, la politique pour les Paresseuses, le Pilates pour les Paresseuses, la Vie Rêvée des Paresseuses… j’en passe et des meilleures. C’est facile à lire, c’est girly, ça motive, c’est plein de petits conseils compilés exprès pour les feignasses et ça coûte rarement plus de 6€.

Cette fois, c’est une collection de mini-guides aux titres plus que parlants qui vont nous permettre de laisser de côté la morosité de cette hiver 2013 qui dure et qui dure, et de démarrer du bon pied dès que le printemps sera vraiment là.

Et même si l’exemplaire « Comment rebondir quand on est au bout du rouleau » me parle le plus actuellement, en vrai, je les ramènerai bien tous dans ma bibliothèque.

Découvrez les 8 titres qui feront de vous une Paresseuse au top :

 [alert type='info'] Plus d’infos et des petits conseils issus de la collection sur le site des Paresseuses [/alert]

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Fais-toi chouchouter en afterwork beauté avec l’Oréal

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Info de dernière minute !

L’Oréal Professionnel vous propose un afterwork beauté le jeudi 18 avril sur Paris, Lille, Toulouse et Marseille, de 19h à 21h30.

Au programme : bars à chignons et brushings et session de manucures Essie

De quoi se faire du bien au moral.

Les places sont chères et les inscriptions ouvertes depuis ce lundi 8 avril. Pour vous inscrire, RDV sur le site de L’Oréal Professionnel ou par téléphone au 01 40 20 61 79.

Dépêchez-vous, les places sont chères !

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« Elle n’aurait pas dû » – A bas le slut shamming

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[checklist]

  • Mettre une jupe si courte
  • Répondre qu’elle n’avait pas de 06
  • Rentrer seule en RER
  • Avoir de gros seins
  • Boire autant à cette soirée

[/checklist]

Puisque c’est toujours la faute de la femme si l’homme en vient à avoir des problèmes avec le cerveau qu’il a dans le pantalon, à nous de supporter voire de subir les avances de ces Messieurs, répertoriés pour certaines dans le fameux Tumblr « Paye ta schnek » , puis ensuite de culpabiliser d’avoir pu susciter de tels sentiments chez ceux qui ne savent ni se retenir, ni comprendre la signification du mot « NON ! ».

Loin de moi de mettre tous les hommes dans le même panier, quand bien même, ils sont nombreux les adeptes du slut shaming, accablement physique ou moral des victimes de harcèlement (et il y a même des femmes dans le lot).

Ce n’est pas l’étudiante de Steubenville qui vous dira le contraire. Violée alors qu’elle était inconsciente suite à une bonne grosse cuite, elle a eu l’audace d’accuser 2 jeunes footballeurs prometteurs. Vous comprenez, elle n’a pas dit non, elle avait bu, elle était en position allongée : elle appelait donc de toutes ses forces au sexe non consenti, forcément.

Morceaux choisis sur le sujet (via le Tumblr Public Shaming)

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J’ai moi-même vécu une situation abracadabrante lors de la folle journée neige against RAPT : un mec me marche dessus et me fait mal, je le pousse et lui demande de se calmer. Jusque là plutôt normal. Sauf que le jeune homme n’a pas aimé du tout qu’une jeune fille d’1m58 lui donne des ordres. Il m’a donc sommé de me taire sous peine de me coller une beigne, et m’a expressément condamner à – je cite – « rester à ma place de femme ». A fermer ma gueule et à subir quoi.

Au final, c’est moi qui ait du me taire pour calmer le jeu, moi qui ait du faire profil bas, moi qui ait du faire face à son sourire malsain quand, par malchance, je suis montée dans la même rame de métro que lui. Moi qui me suis sentie mal à l’aise, fautive et agressée. Pour rien, parce qu’un pédant macho a décidé que nous devons nous taire, quoi qu’il arrive.

Alors, où est la limite ?

jupe-longueur[alert type='info'] On peut même aller lire l’article criant de vérité de Daria Marx [/alert]

Crédit photo : Rosea Posey Tumblr
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Melting Pot #2

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Le principe de l’article Melting Pot ? Un mélange de tout ce que j’ai vu/lu un peu partout, qui m’a marqué, fait rire, pleurer…

Dans la vie, il faut se marrer. C’est pourquoi le Melting Pot de la semaine sera tordant !

1. Ne faites JAMAIS d’enfants

Mais on voulait imiter la licorne qui pète des paillettes POUR DE VRAI !

Mais on voulait imiter la licorne qui pète des paillettes POUR DE VRAI !

En tout cas, c’est pas le Tumblr Noubliezjamaislacapote qui me fera dire le contraire. Mais que prennent-ils au petit déj’ pour avoir des idées pareilles ?!?

2. Langue de VIP

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C’est bon, on connaît tous pas coeur la phrase culte de Nabi-Nabilla et son histoire de « cékikapadecheveux-cékikapadeshampoing ». On pourrait croire à un acte isolé. Que nenni, Réalité à la Française a pour but de nous rappeler que la télé-réalité, c’est rien que de l’or en barre et des ânes qui passent à la télé.

3. My Crazy Obsessions

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(La vidéo ne fonctionnant pas sur le blog, je vous invite à cliquez sur un des liens ci-dessous)

Grande fan de Confessions Intimes, Tellement Vrai et Jerry Springers qui ont un effet plutôt bénéfique sur mon moral (ça + les mojitos) en période « ma vie est trop pourrie », Mademoizelle a trouvé le Graal du Graal (une vraie mine d’or ce site). Je vous ai mis mon préféré : l’obsédée de la carotte. Faut-il y voir un symbole quelconque ?

Après avoir fait travailler les zygomatiques et les abdos, passez un bon week-end !

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30 ans

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Être mariée avec des enfants, une jolie maison et le lourd crédit qui va avec. Savoir marcher avec des talons, aiguilles même, et sans avoir l’air ridicule. Maîtriser ma féminité, l’art de la mise en valeur pour cacher les premières rides. Avoir presque fait le tour du monde. Inviter les couples d’amis dans ma grande maison pour manger le gigot du dimanche. Savoir de quoi demain sera fait et avoir confiance en l’avenir. Avoir enfin des seins ou au moins connaître enfin ma vraie taille de soutien-gorge. Aimer le sport. Savoir que mes parents seront toujours là, à veiller sur moi. Vivre une passion pour quelque chose, pour de vrai, à 100 000 à l’heure. Identifier ce qui me rend vraiment heureuse.

Aujourd’hui, j’ai 30 ans.

Et à défaut de pouvoir cocher la liste ci-dessus, la liste de mes 20 ans, j’ai appris ce que liberté et indépendance veulent dire. J’essaye de me contenter de ce que j’ai. Je me découvre et j’apprends encore. J’ai un blog sympa qui me rend fière, une première. Je bidouille les images et j’aime ça. Je cherche ma voie, ma passion, mon amour de la vie. Je fais des apéros et je cuisine des muffins pour les copains. J’en marie certains, évidemment, et je pouponne mon filleul, que je peux ensuite rendre à sa mère. J’essaye de vivre sans elle, comme une grande. J’ouvre ma coquille, je déchire mes entraves.

J’affine ma liste du bonheur, jour après jour, jusqu’à ce que l’évidence m’apparaisse bientôt.

HAPPY THIRTY TO ME !

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Victoria Beckham lance son e-shop et ruine les comptes en banque

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Victoria Beckham ou Vicky pour les intimes a lancé depuis quelques années sa marque éponyme à base de robes ajustées et d’accessoires pointus. Sa collection est désormais dispo sur le web et plus seulement dans les boutiques branchées de LA. A portée de clic mais un peu moins de portefeuille, luxe oblige.

Vicky, j’aime bien son style, très classe, très recherché, fashion mais sobre. En général, j’aime sa dégaine, à part ses chaussures trop hautes qui déforment ses pieds (et sa silhouette trop skinny pour moi). (et avec un sourire c’est encore mieux chère Victoria).

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Vous pouvez découvrir toutes la collection sur l’eshop Victoria Beckham (veuillez consulter votre banquier avant de dégainer la CB). J’ai craqué sur la 1ère robe de la sélection, malheureusement, le marché noir n’a pas voulu de mon rein.

Mon seul regret dans toute cette histoire ? Que Vicky ne veuille pas reformer les Spice Girls !

Crédit photo en home page : Melty.fr
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Melting Pot #1

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Le principe de l’article Melting Pot ? Un mélange de tout ce que j’ai vu/lu un peu partout, qui m’a marqué, fait rire, pleurer…

Garance Doré partage avec nous 23 choses qu’elle a apprise sur l’amour au cours de ses histoires de luv’ : c’est mignon tout plein et ça fait réfléchir sur les relations amoureuses et la façon dont on les gère parfois.

- Je ne pouvais pas ne pas partager le superbe article qu’a écrit Serena sur son couple « mixte » et sur le respect que son mari et elle se porte

- Si les personnages de jeux vidéos se mettaient à faire des cochoncetés, ça se passerait comment ? Réponse dans cette vidéo !

- Et pour terminer, une image concernant le mariage gay aux Etats-Unis (oui chez eux aussi) vue sur mon fil d’actualité Facebook et qui m’a beaucoup, beaucoup fait rire.

10 reasons to oppose marriage equality

 Bon week-end !

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The Battle We Didn’t Choose ou l’histoire d’un amour plus fort que le cancer

The Battle We Didn't Choose - Home

C’est l’histoire d’un photographe, Angelo Merendino, qui rencontre enfin la femme de sa vie. C’est l’histoire d’une jeune femme heureuse que la maladie frappe en plein coeur. C’est l’histoire d’un amour sans faille et d’un combat sans merci, immortalisés par de superbes mais dures images, des images d’épreuves et de soutien, de joie et de peine, d’un homme qui tient à garder jusqu’au bout le fil ténu de la vie de celle qu’il aime.

Voici comment il résume l’histoire de ses photos :

[alert type='alert'] « La première fois que j’ai vu Jennifer j’ai su. J’ai su qu’elle était la bonne. Je l’ai su, comme mon père pendant l’été 51 quand il a chanté I found her à ses soeurs après sa rencontre avec ma mère.

Un mois après, Jen a trouvé un job à Manhattan et a quitté Cleveland. J’y allais – pour voir mon frère, mais je voulais vraiment voir Jen. À chaque visite mon coeur criait « Dis-lui ! » à mon cerveau, mais je n’arrivais pas à trouver le courage de lui dire que je ne pouvais pas vivre sans elle. Mon coeur a finalement pris le dessus et, comme un petit garçon, j’ai dit à Jen « Je craque pour toi ». Au grand soulagement de mon coeur, qui battait la chamade, les beaux yeux de Jen se sont illuminés et elle a dit « Moi aussi ! »

Six mois plus tard j’ai rassemblé mes affaires et je suis parti à New York, une bague de fiançailles pesant dans ma poche. Cette nuit-là, dans notre restaurant italien préféré, je me suis mis à genoux et j’ai demandé à Jen de m’épouser. Moins d’un an plus tard nous nous marrions à Central Park, entourés de nos amis et nos familles. Plus tard dans la nuit, nous dansions ensemble pour la première fois en tant que mari et femme au son de mon père jouant de l’accordéon et chantant I’m in the mood for love.

5 mois plus tard on diagnostiquait à Jen un cancer du sein. Je me souviens du moment exact… La voix de Jen et le sentiment d’être paralysé/engourdi qui m’a envahi. Cette impression ne m’a jamais quitté. Et je n’oublierai jamais la façon dont on regardait dans les yeux de l’autre en se tenant les mains. « Nous sommes ensemble, ça ira ».

Nous étions plus proches à chaque épreuve. Les mots devenaient moins importants. Une nuit, Jen a été admise à l’hôpital, sa douleur n’était plus contrôlable. Elle a serré mon bras, les larmes lui montant aux yeux, « Tu dois me regarder dans les yeux, c’est le seul moyen pour que je puisse supporter cette souffrance ». Nous nous aimions tous deux de toute notre âme.

Jen m’a appris à aimer, à écouter, à donner et à croire en les autres et en moi-même. Je n’ai jamais été plus heureux qu’à cette période.

À travers notre combat nous avons eu la chance d’être vraiment soutenus par notre groupe mais nous devions lutter pour faire comprendre aux gens notre quotidien et les difficultés que nous avions à affronter. À cause des effets secondaires de près de 4 ans de traitement et de médicaments, Jen avait des douleurs chroniques. À 39 ans, Jen a commencé à utiliser un déambulateur et était épuisée d’être constamment consciente de chaque petit choc, chaque petit bleu. Il n’était pas rare que les séjours à l’hôpital durent 10 jours et plus. Les visites fréquentes des docteurs menaient à des batailles avec des compagnies d’assurance. La peur, l’angoisse et les inquiétudes étaient constantes.

Malheureusement, la plupart des gens ne veulent pas entendre ces réalités et à certains moments nous avons senti notre soutien s’effacer. D’autres survivants au cancer partagent cette perte. Les gens supposent que le traitement vous fait aller mieux, que les choses tournent bien, que la vie retourne à la « normale ». Cependant, il n’y a rien de normal à Cancerland. Les survivants au cancer doivent définir le nouveau sens qu’ils donnent au « normal », souvent de manière quotidienne. Et comment les autres peuvent-ils comprendre ce avec quoi nous devons vivre tous les jours ?

Mes photographies montrent ce quotidien. Elles humanisent le visage du cancer, sur le visage de ma femme. Elles montrent les épreuves, la difficulté, la peur, la tristesse et la solitude que nous vivons, que Jennifer vivait, alors qu’elle luttait contre cette maladie. Plus important que tout, elles montrent notre amour. Ces photographies ne nous définissent pas, mais elles sont nous.

Le cancer est dans l’actualité de tous les jours et, peut-être, à travers ces photographies, que la prochaine fois qu’on demandera à un malade du cancer comment il ou elle va, on lui offrira en plus d’une écoute une réponse avec un peu plus de connaissance, d’empathie, une meilleure compréhension, une attention sincère et un véritable intérêt.

« Aimez chaque petit morceau de ceux qui vous entourent » – Jennifer Merendino »

Merci à Mademoizelle pour la traduction [/alert]

La photo qui m’a le plus marquée, c’est celle « d’après », lorsque le lit devient vide, les draps ont encore les plis du corps qu’ils ont porté jusqu’à l’ultime délivrance. Une cruelle peine et un soulagement en même temps.

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Ces photos me font ressentir une sorte de regret…

Savoir qu’on va partir, avoir le choix, pouvoir le vivre avant que ce soit trop tard.

[alert type='info'] Retrouvez toutes les photos sur My wife’s fight with breast cancer [/alert]

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Easter Eggs : quand les oeufs prennent des couleurs

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Je n’ai pas encore d’enfants et je ne dévore pas des tonnes de chocolat : je devrais donc être insensible à toutes ces images d’oeufs colorées qui envahissent mon écran d’ordinateur ces derniers jours.

Mais en vraie dingue de mignonneries, je ne peux pas m’empêcher de partager avec vous quelques décorations de vrais ou faux oeufs, à faire seul ou avec vos marmots.

DIY Mom.me- Sur le site Mom.me, si on est doué en dessin, on peut caler fastoche un poussin. Si on ne sent pas trop à la hauteur, des traits et des points en mode « polka dot » feront largement l’affaire.

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DIY Design Sponge eggs

- Chez Designsponge, c’est la classe, les oeufs font carrément partie de la déco façon Marie-Claire Maison. Il suffit juste d’avoir la patience de faire plein de petits ronds pas trop moches sur les oeufs (sans les casser) ou de leur fabriquer un col roulé en ficelle (sans faire d’omelettes bis).

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DIY eggs PS I made this

- La version bio/produits naturels : teindre les oeufs comme feu notre Copains des Champs nous apprenait à teindre nos vieux T-shirts (après avoir réussi à faire un feu) (seul) (à 10 ans). On utilise un aliment qui teinte, on trempe, et tadaaaaaaaaaa. (source : PS I made this)

Y’a plus qu’à aller chercher le matos sous le cul des poules !

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Nouveau départ

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Ce n’est pas le nom de la dernière télé-réalité à la mode mais bel et bien le titre du 1er article de mon tout-nouveau-tout-beau blog. Mon bébé, mon bijou, celui sur qui j’ai passé tant d’heures à créer les rubriques, maîtriser le thème, faire et défaire la bannière sous Photoshop et bien d’autres choses encore.

J’espère que ce nouveau projet m’apportera autant de bonheur à le tenir que vous à le lire. Il arrive à point nommé à un moment où j’ai besoin de m’exprimer de diverses façons. Il arrive aussi à l’aube de mes 30 ans et j’espère ainsi lui donner une autre tournure, plus mature, que mon blog précédent.

Tout est expliqué là, mais pour récapituler, vous trouverez ici des infos diverses et variées sur des sujets qui le seront tout autant, des textes personnels, des revues beauté, des articles shopping, que ce soit mode, déco ou autres. Parfois des concours quand j’ai l’occasion de vous gâter. Parfois des partenariats lorsque je ne mange plus que des pâtes au ketchup.

Menu_blog

Un menu est disponible pour vous retrouver parmi les thématiques. Je me suis permise de publier quelques articles issus de mon blog précédent, histoire que Little Black Sheep ne démarre pas complètement vide. En fille overconnected, je suis sur Facebook, Twitter, Instagram, Pinterest et même Google + (même si je ne sais pas très bien comment ça marche encore).

J’espère que les « anciens » continueront à me suivre et que les nouveaux seront ravis de me découvrir.

Je suis vraiment très fière aujourd’hui de vous présenter mon nouveau bébé !

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